Mariage — Paroisse Saint-Jean-Baptiste en Chablais

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Paroisse Saint-Jean-Baptiste en Chablais Paroisse  Saint-Jean-Baptiste en Chablais
Newsletter

Mariage

Dire « oui » devant vos familles et vos amis,
c’est donner à votre engagement, une dimension officielle.
Ils ont découvert, au fil du temps, que vous vous aimiez.
Aujourd’hui, vous voulez qu’ils sachent
que cet amour n’est pas passager et que votre vie en est transformée.
Vous voulez prendre l’engagement de construire votre vie ensemble,
devant les hommes et devant Dieu.

Si vous habitez une des 11 communes (Ballaison, Chens, Douvaine, Excenevex, Loisin, Massongy, Messery, Nernier, Sciez, Veigy, Yvoire) de notre paroisseSaint Jean-Baptiste en Chablais, ou si vos parents ou grands-parents habitent notre paroisse, alors dès la date envisagée, contactez la maison paroissiale pour prendre rendez-vous et fixer une date qui vous convienne avec le Père Celse NIYITEGEKA, curé de la paroisse.
Vous pourrez alors vous inscrire aux sessions de préparation vous permettant de réfléchir à l'engagement que vous prenez.

 

Quand se signaler à la paroisse ?

Le plus tôt sera le mieux… Mais toujours 10 mois à l’avance au moins, sinon cela peut poser des difficultés.

Quelles dates sont possibles ?

En général, on choisit un samedi après-midi (14h30 ou 16h30).

La plupart des samedis sont possibles sauf :
- les samedis du temps de Carême et du samedi Saint (veille de Pâques)
- certaines fêtes locales, si les églises sont prises pour des célébrations spéciales et s’il n’y a pas de célébrant ce jour-là.

Attention !

Aucune date ne doit être fixée définitivement avant d’avoir obtenu le feu vert de la paroisse, qui doit tenir compte des autres mariages demandés ainsi que des prêtres disponibles. (Ne pas retenir de salle avant ce feu vert)

Dans quelle église ?

Sauf cas particuliers, on se marie dans la communauté locale où on habite.

On ne peut se marier que dans les églises paroissiales (celles où sont célébrées les messes) et en aucun cas dans les petites chapelles ou en plein air.

Que faut-il préparer ?

Il faut se préparer, le mariage à l’église n’étant pas d’abord une cérémonie, mais un sacrement qui engage profondément les époux et l’Église.

Les fiancés doivent rencontrer des couples chrétiens pour réfléchir avec eux sur le sens du sacrement de mariage et la manière de fonder solidement un foyer, à une époque où cela devient plus difficile.

Après la préparation, les fiancés ont un, deux ou trois entretiens avec le célébrant (prêtre ou diacre) et mettent au point la célébration elle-même.

Quels papiers faut-il ?

Pas de précipitation ! On vous le dira pendant la préparation.

Simplement, facilitez la tâche des responsables de votre dossier en vous renseignant à l’avance sur le lieu et la date de votre baptême (nom de la paroisse, nom de l'église, adresse précise de la paroisse, nom du Diocèse).

Et si l’un des deux n’est pas baptisé ?

Le mariage à l’église peut être possible avec l’accord de l’Évêque (dispense de disparité de culte). D’où la nécessité de rencontrer le prêtre le plus vite possible afin de commencer une préparation catéchuménale.

Et si l’un des deux a déjà été marié à l’église ?

Le mariage à l’église comporte un engagement total entre les époux. Il ne peut donc être rompu que par la mort de l’un d’eux. En dehors de ce cas, on ne peut donc pas redire une deuxième fois que l’on s’engage pour la vie. Ce qui veut dire qu’il ne peut pas y avoir remariage à l’église si l’un des deux conjoints a déjà été marié validement.

Pour tenir compte des situations douloureuses vécues par des divorcés et pour les accueillir avec bienveillance, l’Eglise prévoit que l’on puisse parfois organiser un autre jour, une prière simple, de caractère privé. Voir avec les prêtres si vous êtes dans ce cas.

Comment s’organiser pour les fleurs ?

La famille doit s’en charger, soit qu’elle fleurisse elle-même, soit qu’elle en confie la charge à un professionnel. Rappelons que l’on peut faire quelque chose de beau en restant simple et sobre.

Combien cela nous coûtera-t-il ?

Comme tout sacrement et prière de l’Église, le mariage n’est pas un service de type commercial. Simplement, pour donner un ordre de grandeur, notre évêque propose actuellement, comme chiffre indicatif, la somme de 170 euros.

Aux familles, il revient donc de s’interroger :

- Comment est-ce que j’aide habituellement l’Église à vivre ? (Offrande annuelle du Denier de l’Église, quêtes, intentions de messes, dons, etc.),

- Qu’est-ce qu’il est raisonnable de donner pour ce mariage vu ce que je vais dépenser ailleurs (pour des choses parfois très secondaires), vu la manière dont je prends la religion au sérieux et vu mes ressources ? A chacun de voir.

- La quête faite pendant le mariage est une autre chose : C’est la participation de vos invités à la vie matérielle de l’Église (Chauffage, éclairage, formation, etc.).

Les 4 pilliers de votre engagement 

Liberté 

Etre libre, ce n’est pas faire ce que je veux, c’est vouloir ce que je fais.
Décider de me marier, c’est te choisir « librement et sans contrainte ».
C’est aussi accepter que tu sois différent de moi, écouter et respecter ton avis, comprendre tes choix, savoir te dire « non » et entendre tes « non »

Fidélité 

Bien sûr, aujourd’hui, cela me paraît évident. Je t’aime tellement que je suis prêt à tout pour toi.
T’accepter tel que tu es, te respecter et savoir te pardonner…
Garder la fraîcheur de notre amour, l’entretenir au jour le jour comme la plante qu’on arrose…
Traverser les tempêtes de la vie avec toi dans la confiance… voilà ce à quoi je suis prêt.

Indissolubilité 

La vie n’a jamais été aussi belle ! Et pourtant…
Comme moi, tu as des défauts. Il me faudra les apprivoiser.
Comme moi, tu changeras. Il nous faudra être attentif à ces changements, prendre du temps pour nous parler, nous retrouver l’un l’autre, accepter que la passion des premiers temps devienne tendresse infinie…

Fécondité 

Nous sommes bien tous les deux, mais notre bonheur ne saurait être total sans les autres.
L’arrivée d’un enfant dans notre couple, don de la vie, fruit de notre amour, objet de notre affection, nous conduit à la responsabilité de parents. Avec une mission essentielle : en faire un homme heureux, responsable, ouvert à La Bonne Nouvelle.
Cette fécondité là en cache une autre, tout aussi importante. En conjuguant le « nous », nous multiplions nos énergies pour créer de nouvelles relations et mettre nos talents au service des autres.