Offrir une messe ? — Paroisse La Sainte-Famille de la Mandallaz

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Offrir une messe ?

Offrir une messe pour des mariés, une naissance, un proche, un défunt... C'est peut-être pour vous une démarche familière... ou totalement inconnue ! Voici quelques explications.

Toute messe est une action de grâce pour le sacrifice de Jésus qui réconcilie les hommes avec son Père. Une messe est donc toujours célébrée « pour tous ». Cependant, l’Église permet aux fidèles de s’associer plus étroitement à ce sacrifice en confiant au prêtre une intention particulière lors d’une célébration eucharistique. 

Comment faire dire une messe pour une intention particulière ?

Vous pouvez venir aux permanences du samedi matin, entre 9 h et 11 h.

Vous pouvez envoyer un courrier ou déposer une enveloppe à la maison paroissiale, 86 place Claudius Luiset - 74330 SILLINGY. Indiquer sur l'enveloppe : MESSE

A l'intérieur indiquer le nom et prénom de la personne, des familles pour lesquelles vous voulez donné une (ou plusieurs messes), sa commune d'origine. Joindre un chèque au nom de la Paroisse Ste Famille de la Mandallaz. Le montant recommandé d'une messe est de 18 euros.

L'offrande

Le montant de l'offrande est proposé par l'Assemblée des Évêques. Vous pouvez donner plus ou donner moins. Mais en aucun cas la grâce reçue ne dépendra de la somme ! Le montant proposé par les évêques nous permet de rester raisonnables !

La messe n’a pas de prix.

Mais dès les origines, les fidèles ont voulu participer à l'Eucharistie par des offrandes en nature ou en espèces, destinées à assurer les frais du culte, la subsistance des prêtres, la vie de l'Église. C'est l'origine de la pratique des "honoraires de messe", qui date du VIIIe siècle et qui s'enracine dans l'Ancien Testament où le prêtre recevait une part des sacrifices faits à Dieu. Le prêtre doit toujours pouvoir "vivre de l'autel". Le code de droit canonique légitime cette pratique (C.945) et la réglemente (C.946 et suivants). La vie matérielle de l'Église et de son clergé repose donc sur cette contribution volontaire des fidèles. Faut-il rappeler que, depuis 1905 en France, "la République ne salarie aucun culte" - sauf en Alsace (départements 67 et 68) et dans le département de la Moselle (57) -.