Un hameau "coupé du monde" mais riche d'une grotte mariale Notre Dame de Lourdes.
Probablement bâtie par une famille du village ... avec le murmure du ruisseau pour accompagner le recueillement.
Une fois par an pendant l'été, partage des intentions de prières pour les défunts du hameau et celles des participants ... puis gourmandises et apéritif convivial.
Rendons grâce à Dieu !
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Notre Dame des Sept des 7 Douleurs
La pluie et un petit vent du nord n'ont pas empêché de nombreux participants de se réunir dans la joie.
Historique :
La construction de la chapelle est réputée avoir été projetée par le curé de Féternes vers 1920. Un mourant du hameau de Vers La Grange refusant de recevoir le sacrement de l'extrême onction, le curé, passant devant l'oratoire de Champeillant à son retour, fait vœu d'élever une chapelle à cet endroit si le moribond revient sur sa position. C'est ce qui advient ; dès lors, la chapelle est dédiée à Notre-Dame-des-Sept-Douleurs. Elle est inaugurée et bénite le 14 septembre 19243 par le prêtre Maniglier.
En 1956, l'édifice est restauré3: l'entrée est déplacée du côté sud et protégée par la construction d'un vaste auvent. En 1979, le toit est refait et recouvert de bardeaux canadiens. En 1994, l’extérieur de la chapelle est rénové. Un nouveau clocher est aménagé en 19973 et une statue de bois sculptée par un habitant de Féternes, Bernard Hauteville, est installée. En 2012, la chapelle est de nouveau entièrement refaite.
Le troisième dimanche de septembre, elle accueille un pèlerinage qui réunit les habitants du plateau de Gavot.
Les douleurs de la Vierge
La prophétie de Syméon.
La fuite en Égypte.
Jésus perdu au Temple.
Marie trouve son Fils sur le chemin du Calvaire.
Jésus meurt sur la Croix.
Jésus est descendu de la Croix et remis à sa Mère.
Jésus est mis au tombeau.
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Dimanche 2 juillet 2024 la communauté de Marin était en fête pour les 150 ans de l'église de Marin.
De nombreuses personnes étaient venus pendant la journée qui a commencé par la messe présidée par le vicaire episcopal Père Emmanuel BLANC , présence du curé de la paroisse Père Louis AEGERTER et du diacre Jean DEZECACHE.
L'apéritif qui a suivi était joyeusement animée au son des accordéons de Martine et d'Isabelle. Toute l'équipe s'était mobilisé pour préparer et servir des amuses gueules et des boissons aux convives. Mme Caroline SAITER en qualité de première adjointe nous a fait le plaisir de nous rejoindre pendant sa pause du suivi du bureau de vote.
Le repas de midi fût un agréable moment de partage dans la salle du stade où chacun a pu amener et faire découvrir un plat.
La fin d'après midi s'est conclue par le magnifique concert des voix du chœur d'hommes NON NOBIS. La qualité renommée de leurs chants a été grandement apprécié par les nombreuses personnes qui s'étaient déplacées pour les écouter.
Un grand merci à tous ceux qui sont venus, à tous ceux qui nous ont soutenus et toute l'équipe qui a fait de cette journée une grande fête.
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En l'absence de chapelles sur le territoire de la commune, une messe un mercredi dans l'été est dite tous les ans.
L’église paroissiale Saint-Martin de Tours construite en 1724 grâce au financement d’Anselme Boujon qui a donné son nom à la place au-devant. Elle est établie sur une ancienne chapelle.
L'église est dédiée à Martin de Tours et fut financée par deux migrants du village, les frères Goujon, partis s'installer en Allemagne. Elle possède des peintures des frères Dalla-Palma. Le presbytère est devenu aujourd'hui la mairie.
L'église a été restaurée à de nombreuses reprises. En 1993-941, la municipalité décide d'effectuer d'importantes rénovations pour lui rendre son caractère baroque.
Le 25 mai, le village est le lieu d'un pèlerinage (aujourd'hui abandonné mais les anciens s'en souviennent)), notamment pour guérir les enfants rachitiques. Ainsi, les pèlerins doivent faire le tour de l'église, dans laquelle se trouvaient des reliques du saint, neuf fois et « comptent les tours en lâchant quelques petits cailloux ».Le pèlerinage est déjà signalé lors d'une visite pastorale de 1617.
Le saint : homme charismatique, prônant le dépouillement extrême, fondateur des premiers monastères d’Occident, évêque évangélisateur & guérisseur… Martin fut certainement une personnalité hors du commun. Il est aussi le premier saint de cette nouvelle ère de l’Empire devenu chrétien.
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La Chapelle de Chez Portay date de la fin du XIXème siècle. Cette Chapelle appartient aujourd’hui à la commune de Féternes.
Yves Bordet (dcd en décembre 2023 à l'âge de 92 ans) était une figure de Chez Portay. Comment évoquer Yves sans parler de la Chapelle de Chez-Portay, sur laquelle il a toujours veillé et dont l’entretien était une mission qui lui conférait à la fois responsabilité et fierté.
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Notre Dame du Bon Secours : la Bienheureuse Vierge Marie du Secours, également appelée (la) « Succurre Miseris » ou simplement Notre-Dame du Bon Secours (ou « de bon secours »), ou du Perpétuel-Secours, est l'un des noms par lesquels l'Église catholique ainsi que les Églises orthodoxes vénèrent la Vierge Marie, la Théotokos, mère de Jésus-Christ selon sa nature humaine.
En 1850 fut construite la chapelle de Trossy. C’est le père Chevallay, curé de Pers-Jussy, qui en eut l’idée. Les frères Peillex offrirent le terrain. Elle est dédiée à Notre-Dame du Bon Secours. Elle protègerait les habitants et le village de Trossy des crues de l’Ugine et des chutes de pierre du mont César.
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Construite en 1895 par un curé originaire de Larringes, le Père Milliet. Elle appartient toujours à cette même famille
Au hameau “Chez Crosson” à Larringes, l’original a une saveur toute religieuse. Pas ordinaire cette situation : la chapelle appartient à un privé. Maxime Milliet, l’heureux élu qui se présente sans auréole, l’a touchée en héritage de son père.
L’édifice est dans la famille depuis 1895, date à laquelle, un arrière-arrière grand-oncle, curé de son état, le fit construire avec son propre argent « pour dire la messe quand il serait à la retraite. » Il l’appela Immaculée Conception. “Chez Crosson” à côté de “Saint-Thomas”
Aujourd’hui, comme les voix du Seigneur sont toujours impénétrables, la porte de cette chapelle s’ouvre plus facilement que celle du paradis.
À tel point que les touristes randonneurs s’y arrêtent. Certains y déposent même des objets sacrés comme des vierges noires ou encore cette petite plaquette en bois, mentionnant “en remerciement pour la guérison de Tarah de l’île Maurice”.
Car c’est simple, s’il y a bel et bien une serrure, la clé a été volée par le diable. Du coup, on y rentre effectivement comme dans un moulin. Sauf l’hiver quand le froid balaie le plateau du Gavot, au risque d’enrhumer les saintes statues en plâtre. Imaginez la vierge Marie, patronne des lieux ou encore Jeanne-d’Arc prises de frissons, cela ferait désordre !
Pas religieux pour deux sous -ni pour, ni contre- Maxime Milliet, avait pourtant installé un tronc. « Mais, on me l’a chapardé », dit-il charitablement et en souriant. Promis, juré mais pas sur la bible, il va en poser un autre mais cette fois-ci, scellé au mur. Alors, on pourra faire brûler un cierge…
Ce qui est aussi amusant dans cette histoire, c’est que “Chez Crosson” a une frontière commune avec le hameau voisin prénommé “Saint-Thomas”. Croyons-y dur comme fer, il n’y a pas de querelle de chapelle entre les deux communautés.
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