Paroisse Saint-André en Gavot-Léman — Paroisse Saint-André en Gavot-Léman

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Chapelle chez Crosson (Larringes) - Dédicace inconnue

Construite en 1895 par un curé originaire de Larringes, le Père Milliet. Elle appartient toujours à cette même famille Au hameau “Chez Crosson” à Larringes, l’original a une saveur toute religieuse. Pas ordinaire cette situation : la chapelle appartient à un privé. Maxime Milliet, l’heureux élu qui se présente sans auréole, l’a touchée en héritage de son père. L’édifice est dans la famille depuis 1895, date à laquelle, un arrière-arrière grand-oncle, curé de son état, le fit construire avec son propre argent « pour dire la messe quand il serait à la retraite. » Il l’appela Immaculée Conception. “Chez Crosson” à côté de “Saint-Thomas” Aujourd’hui, comme les voix du Seigneur sont toujours impénétrables, la porte de cette chapelle s’ouvre plus facilement que celle du paradis. À tel point que les touristes randonneurs s’y arrêtent. Certains y déposent même des objets sacrés comme des vierges noires ou encore cette petite plaquette en bois, mentionnant “en remerciement pour la guérison de Tarah de l’île Maurice”. Car c’est simple, s’il y a bel et bien une serrure, la clé a été volée par le diable. Du coup, on y rentre effectivement comme dans un moulin. Sauf l’hiver quand le froid balaie le plateau du Gavot, au risque d’enrhumer les saintes statues en plâtre. Imaginez la vierge Marie, patronne des lieux ou encore Jeanne-d’Arc prises de frissons, cela ferait désordre ! Pas religieux pour deux sous -ni pour, ni contre- Maxime Milliet, avait pourtant installé un tronc. « Mais, on me l’a chapardé », dit-il charitablement et en souriant. Promis, juré mais pas sur la bible, il va en poser un autre mais cette fois-ci, scellé au mur. Alors, on pourra faire brûler un cierge… Ce qui est aussi amusant dans cette histoire, c’est que “Chez Crosson” a une frontière commune avec le hameau voisin prénommé “Saint-Thomas”. Croyons-y dur comme fer, il n’y a pas de querelle de chapelle entre les deux communautés.

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Inauguration église de Maxilly

Bref historique : Une église primitive est mentionnée en 1099, dans le Régeste genevois, qui demande au prieuré de St Paul de desservir Maxilly. L'église actuelle ne possède pas de datation précise. Entre 1078 et 1120, la moitié des revenus de l'église est donné au prieuré Saint-Victor de Genève. En 1536, la paroisse, à la suite de l'invasion des Bernois, devient une enclave protestante. En 1794, le clocher est rasé et l'église est dépouillée d'une grande partie de son mobilier. L'église est entièrement reconstruite en 1828 dans le même style que l'ancien édifice, avec une nef unique. Sainte Marie Madeleine, ou Marie de Magdala, appelée aussi Marie la Magdaléenne (Μαρία ἡ Μαγδαληνή) dans les Évangiles, est une disciple de Jésus de Nazareth qui le suit jusqu'à ses derniers jours. Cette importante figure du christianisme est mentionnée au moins douze fois dans les quatre Évangiles canoniques, plus que la plupart des apôtres1. Son surnom de « Magdaléenne » peut signifier qu’elle est originaire de Magdala, une ville de pêcheurs sur la rive occidentale du lac de Tibériade. * Discours de Mme Sonia Hourtale, Maire adjointe de Maxilly Ce n’est pas si fréquent de voir l’église de notre village accueillir autant de monde pour un moment festif. Nous sommes très heureux de la présence de chacune et chacun, membres ou non de la communauté catholique de la paroisse Saint-André en Gavot-Léman ; nous sommes très heureux de votre présence, Monseigneur Le Saux ; votre venue jusqu’à nous, presque au bout de votre diocèse est un signe fort d’encouragement. Maxilly c’est un peu loin depuis Annecy, mais l’endroit est si beau ! Le Conseil Municipal a à cœur d’y préserver un environnement à taille humaine, fait de proximité, de simplicité aussi. À une époque où tout semble s’uniformiser, se densifier de partout ; à une époque où tout semble s’accélérer ce n’est pas toujours facile de préserver des espaces et des moments où un lien social peut se tisser, où nous pouvons prendre le temps de la rencontre. Préserver des lieux qui font sens, où une expérience de vivre ensemble peut s’expérimenter c’est sans doute ce qui a conduit la commune de Maxilly, avec le soutien du département à répondre favorablement à la demande de la Paroisse de réaliser ces travaux de rénovation. Un investissement de taille avec ses 70 000 euros, mais qui nous semblait essentiel, au-delà des convictions que chacun porte en lui. Notre époque si éprouvée a besoin d’artisans de paix et de solidarité, d’écoute et de réconciliation, d’ouverture. Nous comptons sur la communauté chrétienne, sur les communautés où quelque chose de la foi s’expérimente pour générer de tels témoins. Nous serons alors acteurs, ensemble, d’un « bien vivre ». Chère Marie-Thérèse, chère Jeanine, encore un grand merci pour votre engagement. Vous représentez la paroisse pour notre village et c’est toujours un plaisir de vous avoir près de nous. À vous Père Louis, curé de la paroisse, à vous Père Le Saux nous redisons notre fraternelle amitié. J’ai le grand plaisir de vous inviter toutes et tous à prolonger ce moment autour d’un verre offert par la paroisse et la commune de Maxilly. Une très belle suite de dimanche à vous.

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